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Licenciements
à la tête du Parisien : "vive inquiétude" de la SDJ de L'Equipe AFP. 30 septembre 2009 La société des journalistes de L'Equipe (groupe Amaury) a fait
part mercredi de sa "vive inquiétude" et de la "dégradation du
climat interne", après les licenciements survenus la semaine dernière à la
tête du Parisien/Aujourd'hui en France, qui appartient au même groupe. "La SDJ souhaite faire part de sa consternation devant la
dégradation actuelle du climat interne où, à tous les étages, les managers priment
souvent sur les journalistes", écrit-elle dans un communiqué. Elle se dit "interloquée par la passe d'armes" ayant
opposé son ex-directeur éditorial, Noël
Couëdel, aux propriétaires du groupe, "le premier accusant les seconds de
« cynisme, brutalité et incompétence », avant que le directeur
général ne réaffirme « l'humanisme rayonnant » comme l'une des
valeurs du groupe Amaury". Elle demande à la direction des
"éclaircissements sur la vision qu'elle" a du journal et du
"métier de journaliste". "L'information de qualité nécessite
moyens humains et matériels, indépendance, sérénité et écoute", ajoute la
SDJ, qui souligne que "les départs se multiplient" au sein de
L'Equipe. Lundi, le directeur éditorial du
Parisien, Noël Couëdel, a envoyé une lettre de démission où il dénonce
"l'incompétence" de l'actionnaire (groupe Amaury), quelques jours
après le licenciement soudain de trois responsables de la rédaction, dont
Dominique de Montvalon. Ces événements ont ravivé
l'inquiétude sur un plan social à la rédaction du Parisien. juc/bp/jlt/ct Le communiqué de la SDJ de l’Equipe Où allons-nous ? La SDJ a été interloquée
par la passe d'armes ayant récemment opposé notre ex-directeur éditorial, Noël
Couëdel, aux propriétaires du groupe, le premier accusant les seconds de
"cynisme, brutalité et incompétence", avant que Martin Desprez, le
directeur général, ne réaffirme "l'humanisme rayonnant" comme l’une
des valeurs du groupe Amaury. Le 30 septembre 2009 La SDJ de l'Équipe |